La bande-annonce de cette adaption de comics en série (telle que « Riverdale », par exemple), imaginée par Gerard Way, chanteur du groupe « My Chemical Romance », ne m’avait pas plus attirée que ça au premier coup d’oeil. Mais un jour où je manquais d’imagination afin de trouver une nouvelle série à visionner, je me suis dit « Pourquoi pas celle-ci ? », nous sommes là pour tester après tout ! Et franchement, je n’ai pas été déçu du voyage. Je l’ai trouvé extrêmement inventive, avec du rebondissement à chaque épisode. Elle offre également une belle part de réfléxion sur les rapports entretenus entre les personnages principaux et leur père adoptif, selon l’éducation qu’ils ont reçu et les évènements qu’ils ont vécu en sa présence.
En 1989, plusieurs femmes dans le monde donnent naissance à des enfants dans des circonstances mystérieuses. En effet, elles sont un peu les « Saintes Vierges » de l’époque. Un milliardaire excentrique, Sir Reginald Hargreeves, décide d’en adopter sept contre un bon petit paquet de fric. Dix-sept ans après la disparition de l’un d’entre eux, ils apprennent la mort de leur père adoptif. Tandis le premier adopté (Numéro 1/Luther) pense qu’on l’a assassiné même si les médecins ont prouvé le contraire, celui qui avait disparu (Numéro 4) revient du futur pour leur annoncer un problème encore plus grave : la fin du monde dans 8 jours …