Confinement oblige, on se recale dans son canapé pour quelques heures. Pour ma part, j’ai eu droit à une re-lecture audiovisuelle de la célèbre trilogie « A la croisée des mondes » avec habitués du petit écran comme Ruth Wilson (Les Flingueuses, Luther), James Cosmo (Game Of Thrones, The Collection) et talent confirmé comme James McAvoy.
Confiée depuis sa naissance aux bons soins du Jordan College pour des raisons qui lui échappe, Lyra se retrouve à vivre une aventure incroyable suite à la disparation de son meilleur ami. Elle découvrira petit à petit qui elle est, et pourquoi elle si importante.
Je n’ai pas trop abordé les séries humoristiques dans cette catégorie, c’est difficile de faire un choix qui plaira à la plus grande majorité mais aujourd’hui j’y remedies. Si vous aimez les séries ancrées dans la réalité avec une touche de sarcasme, alors celle-ci est faite pour vous !
Longtemps parti sur le terrain, un journaliste d’aventure revient en ville pour une nouvelle mission. Il devra s’adapter à équipe de jeunes employés du département numérique du magazine pour lequel il travaille, sa tâche consistant à les superviser.
J’avais utilisé 6play pour regarder une émission en replay et je m’étais souvenu que le site proposait également des séries à visionner. Parcourant le catalogue par curiosité, je suis tombée dessus et me suis mise à l’apprécier petit à petit dès le premier épisode, qui m’a rappelé « Supernatural » sur quelques points.
Pendant l’insurrection américaine, Ichabod Crane meurt sur le champ de bataille. Il se réveille deux siècles plus tard en comprenant rapidement que ce n’est pas un hasard et que sa résurrection va malgré lui mettre en péril l’avenir de l’humanité. Il mettra alors tout en oeuvre pour éviter que le pire scénario ne se produise : l’apocalypse.
Je l’avais débutée alors qu’elle n’était pas encore disponible sur Netflix. Bien que j’ai pu découvrir auparavant des films russes qui n’étaient pas des réussites cinématographiques, j’ai été agréablement surprise par cette série qui nous fait réfléchir sur les robots en tout genre.
Cronos, une société spécialisée dans les love bots (des humanoïdes), achète au marché noir un modèle dernier cri à la pointe de la technologie. Un employé trop insistant en perdra la vie et l’entreprise mettra alors tout en place pour étouffer l’affaire et retrouver ce love bot assassin, qui semble plus évolué que l’espèce humaine.
J’ai commencé cette série suite au visionnage de sa bande-annonce qui m’a directement interpellé. On y retrouve notamment Aaron Paul (Breaking Bad, Need for Speed, …) qui joue merveilleusement bien son rôle dans cet univers où chacun se fait duper, ainsi que Michelle Monagan (Mission Impossible, True Detective, …) et Hugh Dancy (Hannibal, 50 nuances plus sombres, …)
Un homme, Eddie, marié et père de famille, rejoint une communauté suite à la mort de son frère.Mais lors d’une retraite organisée par celle-ci, il se met à douter du bien-fondé de cette « communauté » et tente tant bien que mal d’en sortir petit à petit à son retour.
A quoi seriez-vous prêt pour atteindre votre but, vos rêves ? A quels sacrifices ? La série met merveilleusement en lumière ces questions, sur fond de mensonges, de chantages et compromis. On retrouve une Renée Zellweger diablement convaincante dans le rôle de la redoutable Anne Mongomery qui met à profit son formidable jeu d’actrice. L’intrigue, terriblement bien ficelée, nous incite, à la fin de chaque épisode, d’en reprendre une part.
A court d’investissements pour son entreprise pharmaceutique à la pointe d’une technique révolutionnaire, Lisa décide de rencontrer suite à la suggestion de son mari, la fameuse Anne Montgomery. Elle en signe un contrat, l’impliquant elle et sa moitié, qui ne sera pas sans conséquences et pourrait bien chambouler toute sa vie …
Les séries tirées de bande-dessinées ont encore un bel avenir devant elles avec celle-ci. On est plutôt contents de plonger dans la fin des années 80 pour laisser place à la thématique de la série, sans superflu. Des passages en dessin animé (ou plutôt BD animée) viennent sublimer le passé des personnages et on ne se lasse pas du rebondissement à chaque épisode.
Marcus perd ses parents alors qu’il n’est encore qu’un enfant. L’orphelinat qui le reccueille n’est en vérité qu’une façade abritant des employés cruels et il décide de s’en échapper par tous les moyens. Alors qu’il continue de survivre en tant que SDF, on lui fait une offre intéressante : celle d’intégrer une école qui lui permettraitt de venger le responsable de la mort de ses parents.
Je me baladais dans le catalogue de streaming, quand soudain le titre de cette série attira mon attention. En y regardant de plus près, je constatais avec joie que Daniel Radcliffe aka Harry Potter, ce qui lui faisait marquer un premier point. Le synopsis, tout aussi enthousiasmant, m’a décidé à lancer la lecture du premier épisode. C’est court, drôle et on a envie d’y revenir, telle une cuillère de Nutella.
Qui ne s’est jamais demandé à quoi pouvait ressembler le Paradis, ou du moins Dieu et ses acolytes ? Ici, on plonge en plein coeur de l’entreprise de Dieu, « Heaven », en suivant une employée (Eliza) qui va changer de secteur et travailler en binôme avec un homologue masculin (Craig) afin d’exaucer le maximum de prières. Dieu, dans un élan de désespoir vis-à-vis de l’humanité, a programmé l’explosion de la Terre dans deux semaines. Mais la nouvelle venue du département des prières est bien décidée à changer la donne …
La bande-annonce de cette adaption de comics en série (telle que « Riverdale », par exemple), imaginée par Gerard Way, chanteur du groupe « My Chemical Romance », ne m’avait pas plus attirée que ça au premier coup d’oeil. Mais un jour où je manquais d’imagination afin de trouver une nouvelle série à visionner, je me suis dit « Pourquoi pas celle-ci ? », nous sommes là pour tester après tout ! Et franchement, je n’ai pas été déçu du voyage. Je l’ai trouvé extrêmement inventive, avec du rebondissement à chaque épisode. Elle offre également une belle part de réfléxion sur les rapports entretenus entre les personnages principaux et leur père adoptif, selon l’éducation qu’ils ont reçu et les évènements qu’ils ont vécu en sa présence.
En 1989, plusieurs femmes dans le monde donnent naissance à des enfants dans des circonstances mystérieuses. En effet, elles sont un peu les « Saintes Vierges » de l’époque. Un milliardaire excentrique, Sir Reginald Hargreeves, décide d’en adopter sept contre un bon petit paquet de fric. Dix-sept ans après la disparition de l’un d’entre eux, ils apprennent la mort de leur père adoptif. Tandis le premier adopté (Numéro 1/Luther) pense qu’on l’a assassiné même si les médecins ont prouvé le contraire, celui qui avait disparu (Numéro 4) revient du futur pour leur annoncer un problème encore plus grave : la fin du monde dans 8 jours …
Après avoir vu la bande-annonce très prometteuse de cette série classée fantastique, j’étais en hâte de la commencer. Les attentes que j’avais eu ont passé l’épreuve haut la main. En plus d’un super scénario, « The Order » se regarde très facilement car elle ne demande quasiment pas de faire preuve de réfléxion par rapport aux personnages ou à l’intrigue.
Jack Norton, fraîchement admis à l’Université de Belgrave, n’a qu’une seule idée en tête : venger la mort de sa mère. Pour se faire, il devra intégrer l’Ordre de la rose bleue, une société secrète présidée … par son propre père, qu’il a juré d’abattre pour son grand-père maternel. Mais les choses se compliquent, et au final on se demande si le coupable est le bon …